
Marlene
Deboisbriand
Elle
Je reconnais avec gratitude avoir l’honneur de vivre à Gatineau, au Québec. Gatineau se trouve sur le territoire non cédé des Algonquins, un peuple Anishinaabe qui occupe tout le bassin hydrographique d’Ottawa depuis des milliers d’années. Je rends hommage aux Aînés d’hier et d’aujourd’hui.
Vice-présidente,
Stratégie & Opérations

Rachael
MacKenzie-Neill
Elle
Vice-présidente, Développement
& Affaires publiques

Alexandra
Sanchez
Elle
Je reconnais que l’endroit où je travaille aujourd’hui se situe sur le territoire traditionnel des Mississaugas de la rivière Crédit, des Anishinabek, des Haudenosaunee et des Wendat. Ce territoire est visé par le Traité no 13, qui a été signé avec les Mississaugas de la rivière Crédit en 1805, et par les Traités Williams, qui ont été signés par plusieurs Premières Nations des Mississaugas et des Chippewas en 1923. J’éprouve une grande reconnaissance envers les peuples qui ont pris soin de ces terres avant moi, ainsi qu’envers l’ensemble des Premières Nations, Métis et Inuit qui résident ici aujourd’hui, et je tiens à leur rendre hommage.
Spécialiste, Comptes
payables & Systèmes

Amelia
Cruddas
Elle
Coordonatrice, Communications

Antoine
Bélanger-Huot
Il/lui
Gestionnaire,
Soutien aux Clubs,
région centrale

Anya
Pelot
Elle
En tant que visiteuse sur ces terres, je souhaite reconnaître que je travaille, vis et me divertis sur le territoire non cédé de la nation algonquine Anishinaabe. Les peuples autochtones étaient les gardiens de ces terres bien avant le colonialisme, et il est important de comprendre que nous nous trouvons sur un territoire non cédé. Les Premiers Peuples sont toujours présents sur celui-ci et ont toujours un lien profond avec ces terres. La reconnaissance et le respect à l’égard des peuples autochtones et de leurs terres constituent une étape importante vers la réconciliation. J’espère que cela m’aidera et aidera les autres à écouter, à apprendre et à prendre des mesures concrètes.
Gestionnaire,
Médias numériques

Aroop
Rayu
Elle
J’aimerais profiter de l’occasion pour reconnaître que nous nous trouvons sur les territoires traditionnels des peuples de la région visée par le Traité no 7 dans le sud de l’Alberta, soit la Confédération des Pieds-Noirs (Premières Nations Siksika, Piikani et Kainai), les Stoney Nakoda (Premières Nations Chiniki, Bearspaw et Wesley) et la Première Nation Tsuut’ina. La ville de Calgary est également la patrie historique des Métis du Nord-Ouest et abrite la région 3 de la Nation métisse de l’Alberta. Étant de descendance colonisatrice, je tiens à exprimer ma reconnaissance et ma profonde gratitude aux Premières Nations, Métis et Inuit pour leur accueil à bras ouverts. J’aurai toujours un profond respect pour leurs terres et je ne les tiendrai jamais pour acquises.
Spécialiste, Formation

Bouchra
Sidali
Elle
Je reconnais que je vis et travaille sur le territoire etles terresvisées par le Traité no 13 de la Première Nation des Mississaugas de Credit. Je reconnais aussi que nous sommes situés sur le territoire traditionnel des Hurons-Wendats et des Haudenosaunee.
Je suis reconnaissante d’avoir la possibilité de vivre et de travailler sur ces terres magnifiques. Je m’engage à apprendre et à comprendre les histoires de ce territoire que nous considérons comme notre chez nous, mais aussi à défendre les droits des peuples autochtones en faisant part des connaissances que j’aurai acquises aux autres visiteurs sur ces terres.
Gestionnaire,
Bureau administratif

Brooke
Duval
Elle
Directrice principale,
Partenariats & philanthropie

Catelyn
Brett
Elle
Gestionnaire principale,
Partenariats & philanthropie

Dayna
Goren
Elle
Gestionnaire,
Programmes

Deena
Reis-Binne
Elle
En tant que personne allochtone, je m’engage à poursuivre mon apprentissage et à honorer tous ceux qui ont subi les ravages du colonialisme et du système des pensionnats. En tant que personne de descendance colonisatrice qui réside en Colombie-Britannique sur le territoire non cédé des peuples Sylix Okanagan, je ressens un profond désarroi face au nombre de dépouilles d’enfants qui ont été découvertes dans les pensionnats. J’encourage tous les gens qui vivent au Canada à écouter les récits des survivants et à rendre hommage à toutes les personnes qui ont été arrachées de force à leur foyer et à leur famille. Si vous connaissez quelqu’un qui a besoin de soutien émotionnel, veuillez l’encourager à appeler la Ligne d’écoute nationale pour les survivants des pensionnats, qui peut être jointe en tout temps au 1 866 925-4419.
Directrice Principale,
Programmes

Duncan
Johnstone
Il/lui
En signe de reconnaissance à l’égard du peuple Mi’kmaq, des traités de paix et d’amitié qui ont été signés et des terres ancestrales du peuple Mi’kmaq sur lesquelles je vis, me divertis et travaille, je tiens à souligner les contributions importantes des peuples autochtones et notre histoire commune. Étant donné que tout le monde au Canada est concerné par les traités, je considère qu’il est de mon devoir de m’informer et d’avoir conscience de notre histoire et de notre avenir communs et de laisser ces connaissances guider mes actions et mes décisions quotidiennes.
Gestionnaire, Soutien
aux Clubs, région atlantique

Émie
Boies Bastien
Elle
Gestionnaire,
Communications bilingues

Heather
Steeves
Elle
Je tiens à reconnaître que je descends des colonisateurs de ces terres. Je viens du comté de Brant, en Ontario, qui est le territoire traditionnel des Haudenosaunee et des Anishinabek. Directement adjacent au territoire visé par le traité de Haldimand, ce territoire est visé par les traités du Haut-Canada. C’est également là que se trouve l’un des pensionnats les plus anciens et qui a été le plus longtemps en activité au Canada, le Mohawk Institute. Pour en savoir plus au sujet de ce pensionnat et entendre les témoignages des survivants, rendez-vous sur le site Web https://woodlandculturalcentre.ca/
Gestionnaire,
Programmes

Ian
Edward
Il/lui
Je reconnais que les terres sur lesquelles nous nous réunissons sont situées sur un territoire traditionnel visé par un traité, celui des Mississaugas, plus particulièrement la Première Nation des Mississaugas de Scugog Island, signataire du Traité du coup de fusil en 1788 et des Traités Williams en 1923.
Directeur,
région centrale & Excellence opérationnelle

John
Burton
Il/lui
Je reconnais que l’endroit où je vis se trouve sur le Mi’kmaw’ki, territoire ancestral non cédé des Mi’kmaq. Plus précisément, je vis à K’jipuktuk (qui se prononce « Juh-book-took ») soit « le grand port », que l’on connaît aussi sous le nom de Halifax. Les Mi’kmaq occupent ces terres depuis plus de 12 000 ans. Le fait d’occuper ces terres est un privilège partagé dont nous profitons en grande partie à cause des traités rompus, de l’héritage des pensionnats et des politiques coloniales comme la Loi sur les Indiens. En dépit de ces événements passés, les populations autochtones continuent de faire preuve de résilience et de fierté. Ils méritent d’être célébrés. Aujourd’hui, je rends hommage à cette relation. Nous sommes tous concernés par les traités.
Directeur,
région atlantique &
Formation

Julie
Datta
Elle
Gestionnaire,
Évaluation des programmes

Laura
Sutherland
Elle
Spécialiste,
Évaluation

Leah
Mabhurukwa
Elle
Gestionnaire,
Partenariats & Philantropie

Leslie
Elliott
Elle
Je tiens à reconnaître que je suis une personne de descendance colonisatrice vivant sur le territoire traditionnel des peuples Anishinabewaki, Kanien’keha:ka (Mohawk) et Algonquin, que l’on connaît maintenant sous le nom d’Ottawa. Aujourd’hui, des négociations sont en cours en vue de la conclusion du premier traité des temps modernes de l’Ontario. Celui-ci identifie la zone d’établissement des Algonquins de l’Ontario dans l’est de la province, où plus de 1,2 million de personnes vivent et travaillent.
Gestionnaire, Gouvernance &
Initiatives stratégiques

Lisa
Gamblin
Elle
Gestionnaire,
Programmes Autochtones

Mark
Khondowe
Il/lui
Gestionnaire principal,
Comptabilité & Rapport

Mary
O’Connell
Elle
Je tiens à reconnaître les territoires ancestraux traditionnels des Ojibway, des Anishnabe, et tout particulièrement celui des Mississaugas de New Credit, sur lequel je vis. Ce territoire est visé par les traités du Haut-Canada.
En tant que personne vivant sur ces terres, je considère qu’il est de mon devoir d’en apprendre davantage sur les cultures des peuples qui y ont vécu avant moi. J’ai l’intention de renforcer la connaissance de leur histoire en m’informant sur la réconciliation et en communiquant ce que j’aurai appris à la génération actuelle pour contribuer à la sensibiliser à ce sujet.
Directrice,
Marque & Création

Megan
Ondr-Cooper
Elle
J’ai déménagé à Vancouver en 2021 et, comme c’est le cas pour beaucoup de personnes qui se sont établies dans cette région, c’est le paysage splendide que forment les plans d’eau, les montagnes et les arbres qui m’a donné envie d’y vivre. Les Premières Nations Musqueam, Squamish et Tsleil-Waututh prennent soin de ces terres majestueuses depuis des temps immémoriaux. Comme je travaille et me divertis sur ce territoire magnifique où je me considère désormais comme chez moi, je m’engage à assumer ma responsabilité permanente de me faire partenaire de la réconciliation, de comprendre l’histoire de la région où je vis et d’honorer les terres où j’habite.
Gestionnaire principale,
Impact & Évaluation

Melanie
Lukevich
Elle
Gestionnaire,
Programmes

Natalie
Paul
Elle
La terre sur laquelle je vis et travaille aujourd’hui est celle des Haudenosaunee, des Anishinaabe et des Neutres.
Je reconnais la pérennité ainsi que les connaissances approfondies et les philosophies traditionnelles des peuples autochtones avec lesquels je partage cette terre aujourd’hui. Je m’engage à en apprendre davantage sur l’histoire de cette terre et sur ce qu’elle signifie pour les peuples qui ont occupé ce même espace à travers l’histoire.
Directrice, Stratégie
marketing & Contenu

Sarah
Jefferies
Elle
Je reconnais respectueusement que le lieu où je vis et travaille est situé sur les territoires traditionnels des Ériés, des Neutres, des Hurons-Wendats, des Haudenosaunee et des Mississaugas.
Spécialiste,
Soutien programmatique

Sam
Lapensee
Il/lui/Iel/Ellui
Je reconnais que je vis, que j’apprends et que je travaille à Nogojiwanong, qui signifie « l’endroit au pied des rapides » et que l’on connaît également sous le nom de Peterborough. Nogojiwanong, qui se trouve sur le territoire visé par le Traité no 20, est l’endroit où vivent les Michi Saagiig Anishinaabeg. Étant de descendance colonisatrice, j’éprouve une énorme gratitude à l’égard de cette nation pour la manière dont elle prend soin des eaux du territoire et des terres où ma famille a élu domicile.
Gestionnaire par intérim,
Médias numériques

Sean
Smith
Il/lui
Directeur,
Finances

Stevie
Shipman
Elle
Toronto se trouve sur le territoire visé par le Traité no 13, qui est le territoire traditionnel de plusieurs Premières Nations, dont les Mississaugas de la rivière Crédit, les Chippewas, les Anishnabeg, les Haudenosaunee et les Wendat.
Je suis reconnaissante d’avoir la possibilité de vivre et de travailler sur ces terres magnifiques. Je m’engage à apprendre et à comprendre les histoires de ce territoire que nous considérons comme chez nous, mais aussi à défendre les droits des peuples autochtones en faisant part des connaissances que j’aurai acquises aux autres visiteurs sur ces terres.
Graphiste principale
& Gestionnaire de production

Teresa
Murray
Elle
Avec un profond respect et une immense gratitude, je reconnais que l’endroit où je vis, travaille et aime est situé sur le territoire traditionnel non cédé des peuples Syilx Okanagan, qui prennent soin de leurs belles terres depuis des temps immémoriaux. Le colonialisme a créé une frontière entre le Canada et les États-Unis qui a séparé les familles de l’Okanagan et perturbé les voies navigables et les activités de pêche et de chasse. Les enfants ont été envoyés dans des pensionnats très éloignés sur d’autres territoires. Plus j’en apprends sur l’histoire du colonialisme et ses atrocités, plus particulièrement en ce qui concerne le territoire Syilx, sur lequel j’ai vu le jour, et plus je prends conscience du rôle individuel que j’ai à jouer pour faire progresser le travail de réconciliation. Je m’engage à faire ce travail d’apprentissage, de désapprentissage et de réapprentissage, et je demande aux gouvernements et aux entreprises d’achever la mise en œuvre des 94 appels à l’action.
Gestionnaire principale,
Programmes

Thérèse
Lorincz-McRae
Elle
Je reconnais avec gratitude que je me trouve sur le territoire visé par le Traité no 6 à Edmonton, un lieu traditionnel de rencontre et de rassemblement qui sert aussi de chemin de passage sur les territoires traditionnels des Cris, des Dénés, des Pieds-Noirs, des Saulteaux et des Sioux Nakota. Nous reconnaissons que ce territoire abrite les établissements métis et les régions 2, 3 et 4 de la Nation métisse de l’Alberta au sein de la patrie historique des Métis du Nord-Ouest.
Nous reconnaissons le grand nombre de Premières Nations, de Métis et d’Inuit qui vivent sur ces terres et en prennent soin depuis des générations. Nous éprouvons une grande reconnaissance à l’égard des gardiens du savoir et des Aînés qui sont toujours avec nous aujourd’hui et de ceux qui nous ont quittés.
Gestionnaire, Soutien aux
Clubs, région ouest

Traci
Anderson
Elle
Directrice,
région ouest

Yannick
Hebert
Il/lui
Je reconnais que je travaille à Edmonton, qui se trouve sur le territoire visé par le Traité no 6, dans la région 4 de la Nation métisse de l’Alberta au sein de la patrie des Métis. Je reconnais que ces terres sont le territoire traditionnel de nombreuses Premières Nations : les Nehiyaw (Cris), les Denesuliné (Dénés), les Sioux Nakota (Stoney), les Anishinaabe (Saulteaux) et les Niitsitapi (Pieds-Noirs).
Je souhaite rendre hommage à ces nations et aux Aînés d’hier et d’aujourd’hui, et je considère que c’est une chance inouïe pour moi de pouvoir vivre et me divertir sur ce territoire magnifique dont ces nations prennent soin depuis si longtemps.
Je souhaite aussi plaider en faveur de l’égalité du financement pour l’éducation des peuples autochtones, et je demande au gouvernement fédéral d’adopter la recommandation no 8 des appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation.
Gestionnaire principal,
Programmes
Notre équipe nationale sert les BGC de tout le pays à plusieurs niveaux:
- Renforcer l’expérience des Clubs en proposant des programmes nationaux indispensables
- Accroître l’accès à du soutien financier crucial
- Guider le mouvement BGC
- Promouvoir l’image de marque nationale BGC
- Défendre les intérêts des enfants et des adolescents
Par le biais de son bureau national et de trois équipes régionales dispersées à travers le pays, BGC Canada répond aux besoins des Clubs en matière de programmes, de communications et de développement des ressources, et favorise le renforcement des capacités du personnel et des bénévoles en offrant de la formation pour le développement du leadership ainsi que des forums nationaux favorisant la collaboration. BGC Canada est fier d’être un organisme offrant des services dans les deux langues officielles, avec une équipe dévouée au Québec et la capacité d’offrir bon nombre de programmes et ressources dans les deux langues.
BGC Canada offre aux Clubs du financement essentiel à travers une plateforme nationale de subventions, qui garantit un solide soutien à la mise en œuvre des programmes et permet à BGC Canada d’en faire le suivi et d’en mesurer les résultats efficacement. L’information rapportée par les Clubs aide BGC Canada à comprendre les besoins changeants des communautés canadiennes, facilitant ainsi le travail de représentation auprès du gouvernement, tant au palier provincial qu’au fédéral, et permettant de s’assurer que les programmes nationaux demeurent pertinents et à l’avant-garde.