Nous savons que Facebook peut faire mieux pour protéger nos enfants et nos adolescents sur leurs plateformes.
Nous sommes les premiers à constater les effets négatifs des médias sociaux sur les jeunes, notamment au niveau de l’image corporelle, la dépression et l’anxiété, la cyberintimidation, et la désinformation généralisée. En tant que plus important organisme dédié aux enfants et aux adolescents au Canada, nous demandons à Facebook d’en faire plus.
Malgré les promesses que des changements sont à venir, une entreprise mondiale de cette taille peut et doit bouger plus rapidement. Les jeunes méritent mieux.
Ce qui doit changer:
- Facebook doit mieux contrôler les utilisateurs de moins de 13 ans et améliorer les processus de vérification ; le gouvernement fédéral devrait également élaborer des réglementations pour garantir que ces processus de vérification sont rigoureux et obligatoires sur toutes les plateformes de médias sociaux.
- Facebook devrait être responsable du contenu négatif, faux ou préjudiciable que ses algorithmes promeuvent, par exemple la promotion des troubles alimentaires, du harcèlement, des comportements prédateurs, etc.
- Les jeunes devraient avoir le droit d’être oubliés à l’âge de 18 ans – leur vie antérieure sur les médias sociaux pourrait être déconnectée et archivée, ne pouvant être consultée que par eux, et un nouveau profil pourrait être créé à ce stade.
À l’occasion de la #JournéeInternationaleDeLaFille, de la #JournéeMondialeDeLaSantéMentale, et de la Semaine de sensibilisation aux maladies mentales #SSMM21, nous prenons une pause de Facebook et d’Instagram pour une semaine et nous leur demandons d’en faire plus pour protéger nos jeunes.
Joignez-vous à nous pour demander à Facebook de faire mieux.
Renseignements:
Béatrice Savoie-Frenette, BGC Canada
bsavoiefrenette@bgccan.com