
Nous avons questionné Jarrod Johnston, qui vit à Montréal, sur son expérience avec le programme Vise le sommet RBC
Depuis combien de temps les Repaires jeunesse font-ils partie de ta vie?
J’ai participé à Vise le sommet pendant 5 ans, et été membre de mon Repaire jeunesse pendant 10 ans. J’ai également fait partie du Conseil des jeunes. J’ai été très impliqué au Repaire pendant toutes ces années. J’y étais tous les jours après l’école, de 16h à 21h.
Quel est le meilleur souvenir que tu gardes de Vise le sommet RBC?
Mes meilleurs amis, je les ai rencontrés grâce à ce programme. On était là tous les jours et on s’entraidait, et ç’a permis de renforcer nos liens et ça nous a rapprochés. C’est définitivement le meilleur souvenir que j’en garde et, même si je ne fais plus partie du programme, il m’arrive parfois d’aller y faire un tour pour demander conseil aux intervenants.
Quels sont les effets positifs que le programme a eu sur toi?
Comme j’étais à un endroit où tout le monde faisait ses devoirs, je n’avais pas d’autres choix que de faire les miens! Ça m’a permis de développer de meilleures techniques pour faire mes travaux. Et aussitôt que j’avais besoin d’aide, on m’aidait. C’était vraiment un environnement parfait pour ça.
Et tu t’es sûrement buté à quelques obstacles. Lesquels?
Tout au long du secondaire, on grandit, on évolue et on change. Je crois que mon plus gros défi a été de vieillir et de traverser l’adolescence en essayant de découvrir qui je voulais être et ce que je voulais faire.
As-tu été témoin de l’incidence de Vise le sommet RBC sur les autres?
Ça nous a tous affectés de manière positive, que ce soit les amitiés qui se sont forgées ou les compétences que nous avons acquises, par exemple en acquérant de meilleures habitudes d’étude et en trouvant des moyens d’être plus productifs. Les tuteurs nous ont beaucoup aidé à ce niveau. Même les employés sont devenus des mentors pour nous, pas seulement au niveau scolaire, mais pour la vie en général. Quand j’étais au CÉGEP, ils m’ont aidé avec mon bulletin et mes demandes d’admission. Ils étaient toujours là pour nous lorsque nous avions besoin d’un coup de main. Même à l’université, ils étaient là pour moi tout au long du processus.
Peux-tu nous expliquer ton parcours académique et ton plan de carrière?
Au CÉGEP, j’ai opté pour un programme pré-universitaire, puis j’ai fait ma demande d’admission à l’Université Concordia. J’étudie en communications. Comme j’ai un côté créatif et artistique, mon rêve serait de travailler pour un magazine culturel. Je veux définitivement travailler dans le domaine des arts. J’adore la mode et la photographie. J’aimerais beaucoup travaillé pour un magazine qui touche à tout cela ainsi qu’à la culture populaire. Les magazines englobent souvent tout cela, donc ce serait l’idéal pour moi. C’est mon objectif. Je ne suis pas si passionné par le journalisme, mais mon objectif en bout de ligne serait d’être rédacteur ou rédacteur de mode, quelque chose de créatif. Mais je veux acquérir autant de connaissances que possible.